Shikyo; le nom de la rose (E.C)

Présentation de Shikyo

* Première partie: en bref

Nom :
Un nom définit qui on est... je ne suis personne... je n’en ai pas.

Prénom :
Shikyo ; la mort. C’est le surnom que l’on m’a donné, mais je m’en sers comme prénom. Mais vous pouvez également m’appeler Rose.

Age :
23 ans

Guilde:
Paranoïd Circus?

Aspirations :
Faut-il réellement une raison pour se battre ? Si c’est le cas, alors disons... le plaisir que l’on ressent lors d’un combat. La merveilleuse sensation qui nous prend et nous fait frissonner lorsqu’on prend une vie. La rage, la haine, tous ses sentiments qui peuvent maintenant une personne en vie, même au bord du gouffre. Peut-être... la folie ? Le simple plaisir de souffrir ? Celui de semer peur et désolation sur son passage ? Celui de briser les gens, comme elle a été brisée ? Le plaisir de jouer ? Après tout, la vie est un jeu, alors pourquoi ne pas se battre par simple envie ? Mais au fond d'elle-même, elle se bat parce qu'elle a besoin de se battre, tout simplement. Et elle n'attend plus rien d'un vie qui luia déjà beaucoup prit.

Craintes :
Des craintes ?! Mais comment avoir peur de quelque chose, alors qu’on sait ce qui nous attend près la mort ? Effectivement, Shikyo à tout de même des peurs. Elle ne supporte pas les lieux clos. Dès qu’elle y est enfermée, elle pique une crise nerf, et essaye par tous les moyens de se libérer. Le bruit des chaines, frottant contre le sol, celui de deux métaux s’entrechoquant, ou encore celui de galop des chevaux, sont des bruits qui, à proprement parler, ne lui font pas peur, mais chacun d’entre eux lui font revoir son passé, et ça, ça l’effrayait. Elle à peur que tout recommence à nouveau, qu’elle soit de nouveau impuissante. Sa propre impuissance... Voilà ce qui lui fait certainement le plus peur. Ne plus être maître de ses actions.

Manies:
Shi’ passe son temps à fixer ses interlocuteurs de son unique œil, ce qui, la plus part du temps, met mal à l’aise. Egalement, la jeune femme ne peut pas sortir sans bien replacé les fleurs noires qu’elle porte dans les cheveux à leur place. Il est une dernière chose qui lui est bien particulière. Quand elle s’apprête à tuer, elle sort un instrument, la plus part du temps une flûte ou un violon, et joue un morceau, avant de se montrer face à sa future victime.

* Deuxième partie: en détail :

Description physique et vestimentaire:
Les apparences sont parfois trompeuses... Phrase qui colle à merveille à Shikyo. Son physique est à l’opposé de ce qu’elle est réellement.
Dans l’ensemble, on la compare souvent à une poupée de porcelaine. De celle qu’on voudrait voir enfermée pour l’éternité dans un écrin de verre. Elle possède une peau claire, très claire, qui est généralement typique de ce style de poupée. Passons aux détails, voulez-vous ?
Un visage ovale, aux traits fins ; celui d’un ange. Encadré par de longs, très longs cheveux d’une couleur rose semblable à celui de la fleur portant le même nom. Et quand je dis longs, je n’exagère pas le moins du monde. Même attachés, ils arrivent à atteindre les hanches de la jeune femme. Une frange, longue elle aussi, tombe sur ses yeux... ou plutôt sur son œil unique. Un œil vert émeraude. Le second étant caché par un cache-œil blanc, qui maquille une cicatrice, passant par son œil. Juste au-dessus de ce dernier, accroché dans les cheveux roses de Shi’, sont accrochés des roses noirs, ou autres fleurs de couleur ébène, parfois faite de papier, parfois véritable. Tout dépend de son humeur.
Habillée sans cesse de vêtements noirs, blancs, ou encore rouges, dans un style de Gothic Lolita, cela lui donne un air de jeune fille, encore adolescente, dans les environs de dix-sept, dix-huit ans, alors qu’elle a au moins cinq en de plus. Et elle en joue. Sa tenue, sa manière d’être, ses mouvements, tout en elle fait penser à une adolescente de cette âge-là. Mais ce n’est qu’un déguisement, qui reflète, en partie, il est vrai, ce qu’elle est réellement. Les couleurs ne sont pas choisis au hasard. Le noir représente la couleur actuelle de son cœur, desséchée, le rouge représente le sang qui a coulé ; le sien. Et le blanc symbolise la pureté perdue. Les tenues d’adolescentes représentent aussi quelque chose. Son enfance brisé. Il faut également remarquer les nombreux petits détails, et accessoires de ses tenues. Fleurs, bijoux, maquillage, vernis... Et j’en passe. Elle fait réellement tout pour passer pour une fille. Et sa taille l’y aide ; elle est de petite taille.

Description psychologique:
Comment la décrire ? Cela a l’air si simple, mais c’est tellement compliqué... Elle est à l’opposée de son physique. Elle qu’on pourrait croire si douce et si gentille, n’en est rien. Elle a beau avoir un air heureux, et un sourire aux lèvres, est brisée de l’intérieur, ce qui se répercute sur son caractère. Elle est effectivement joueuse, comme on peut s’en douter, mais pas dans le sens dans lequel on l’entend. Elle aime jouer avec tout, et n’importe quoi, en particulier la mort, et la douleur des autres. Elle se contente de peu, quelque soit le sujet, ou le thème. Mais elle ne prend jamais autant de plaisir qu’en faisant souffrir une personne, en jouant avec elle, et de l’entendre la supplier de mettre un terme à sa vie. Elle préfère de loin qu’on lui résiste. Le jeu devient trop simple s’il n’y a pas de résistance. Et puis, cela montre ses penchants légèrement sadomasochistes.
Comme précisé auparavant, Shikyo ne supporte pas les lieux clos, et le bruit de métal s’entrechoquant. Dès que c’est le cas, elle rendre dans un état de... folie avancé. Elle n’est plus réellement maîtresse d’elle-même. Pour la calmer, il y a plusieurs moyens, tout plus ou moins risqués, en sachant que le moins est l’asperger avec une quantité d’eau conséquente. Elle n’en a pas peur, mais ne supporte pas le contacte avec cet élément. Et les répercutions se font ressentir bien après l’action... Enfin, je ne veux pas tout vous expliquer non plus. Après où serait le plaisir de découvrir cette fo... cette femme ? Très important, Shi’ est également mélomane. Elle aime la musique presqu’autant que la mort. Etonnant, n’est-ce pas ? Ce n’est pas pour rien qu’elle joue avant de tuer. Est-elle folle ? Dérangée ? Malade ? C’est ce que ce que beaucoup se demandent. Et la réponse est non. Elle est juste brisée. Ou du moins l’a été. Elle s’est renforcée mentalement pour que ce qui lui est arrivée ne recommence jamais. Au détriment de sa santé mentale. Mais est-elle réellement folle, ou juste incomprise ? Comme si ça ne suffisait pas, elle réagit au quart de tour. La moindre remarque, et elle est piquée au vif. Autre chose qui peut être... surprenante. La jeune femme parle à tout et n’importe quoi. Elle parle au vent comme aux fleurs. Du moins, c’est l’impression que l’on a quand on ignore sa magie. Ce qui renforce l’idée de folle que l’on se fait d’elle. Oh, elle est également une excellente comédienne. Elle peut faire croire à toute personne qui ne l’a connait pas ce qu’elle veut. Qu’elle est une pauvre petite fille qui vient de perdre son chat (alors que c’est elle qui l’a étranglé plutôt dans la journée), qu’il s’agit d’une jeune femme venait de perdre son père... Enfin, vous voyez le tableau. Elle possède, aussi, un caractère assez... changeant. Elle peut parler de la pluie et de beau temps à n’importe qu’elle moment, et passe du coq à l’âne sans problème. Quand cela lui arrive, il est impossible de tenir une conversation un minimum structurer avec elle. Essayez, vous verrez bien.

Biographie:

Soir 1 : Le commencement.

"Viens donc te joindre à nous pour un soir bel inconnu. Une fois n’est pas coutume, aujourd’hui, et comme hier et demain, je vais vous conter l’histoire d’un magicien qui a marqué d’une manière ou d’une autre le passé, ou le présent. Celui de ce soir, ou plutôt celle de ce soir, est une magicienne que vous devez sans aucun doute tous connaître. Depuis quelques temps, elle fait parler d’elle en termes peu élogieux. Personne ne connait son réel prénom, c’est pourquoi nous l’avons surnommé Shikyo. Mais elle, préfère le nom de Rose. Voici donc son histoire.

Des rumeurs. Les dix premiers années de sa vie ne sont que rumeurs. Dont aucune n’est justifiées. Et pour certaines, complètement invraisemblables. Mais quand quelque chose nous effraie, on trouve une logique même où il n’y en a pas. Fille de démon ? Enfant abandonnée ou enlevée ? Créature créée à partir de magie ? Petite fille normale qui a fugué ? Personne ne sait la vérité à son sujet, et personne ne le saura jamais, puisqu’elle-même l’ignore. Mais elle n’a pas non plus de souvenir de ses dix ans. Pourtant moi, j’en ai. Les souvenirs d’un vieil homme. D’un ancien forgeron qui a découvert Shikyo devant sa porte, dans un état lamentable. Les cheveux couverts de saletés, des vêtements en lambeaux, et recouvert de sang par endroit. Il n’a jamais réussi à savoir ce qui lui était arrivé. Il ne le serait sans doute jamais. Personne ne le saura. Mais toujours est-il que cet homme à recueilli la jeune fille. Il l’a soignée, il s’en est occupée, lui a offert une identité dans le nom de Makkura, nom qui, aujourd’hui, reste son véritable nom, mais avec le temps, il s’est fait oublié derrière tout ses surnoms. Il l’a élevée. Certes, au sien du petit village où ils vivaient la petite fille était mal vue. Les étranges, quelque soit leur âge, étaient mal vus. La fillette vécue donc exclue de ce village. Sur le moment, cela ne l’affecta pas plus que ça, mais peut être que ce fut l’un des facteurs qui a fait d’elle ce qu’elle est aujourd’hui. Après tout, privez un enfant de la possibilité de jouer et s’épanouir avec les autres, et vous vous retrouvez avec un criminel, ou un suicide sur les bras. Vraiment, cela finit toujours comme cela. Enfin, revenons-en à notre histoire. Elle a passé sept ans de sa vie comme cela. Mais, car dans toute bonne histoire il y a un mais, il eut un incident. Et tout cela prit fin. Enfin, pour savoir la suite de son histoire, revenez demain. "

Soir 2 : Tournant

"Oh ? Vous êtes revenu. Alors l’histoire de Shikyo vous intéresse ? Bien. Je vais donc reprendre. Cet... incidenta été le déclic à la folie de cette jeune femme. Et pourtant, ce jour avait commencé comme bien d’autre avant lui. Rose aidait son père aux forges. Quand ils sont arrivés. Eux, avec leurs chevaux qui martelaient le sol de leurs sabots. Eux, qui avaient un rire si sinistre qu’elle n’a jamais pu l’oublié. Eux, qui prétendaient être magiciens. Ils ont détruits ce petit village, pourtant si paisible. Ils l’ont réduit en un petit tas de cendre. Personne ne s’est interposé, hormis Eiki, l’homme qui avait pendant tant de temps avait pris soin de Makkura. Il tenait trop à ce lieu pour laisser faire ces hommes. Mais que peut faire un homme seul contre une dizaine d’adversaires ? Rien. Et cela causa sa mort. Ainsi que celle de beaucoup d’autres membres du village. Shikyo n’en fit pas partie. Mais elle fut blessée, et perdit l’usage de l’un de ses yeux. Mais pas seulement. Ce soir-là, elle perdit également son cœur. A cause de ce qui c’était passé, mais également à cause de la réaction des villageois à la suite de cela. Elle venait de perdre la seule personne à qui elle tenait, et aucun d’entre eux ne montra la moindre compassion. Même ceux qui étaient dans le même cas qu’elle. Au contraire. Elle fut tenue pour responsable. Elle restait l’étrangère du village. Et quand quelque chose va mal, c’est toujours sur eux que sont reportées les fautes. Malgré son état du moment, c’est-à-dire blessée aussi bien physiquement que psychologiquement, elle fut obligée de quitter le village. Elle savait que dans le cas contraire, elle risquait des représailles. Dès lors, elle s’enferma sur elle-même, et commença à plonger dans la folie. Elle commença à tuer. Cette sensation de puissance lui plaisait. Elle faisait abstraction de ses sentiments, elle alla même jusqu’à les oublier. Elle réussissait à faire en sorte que l’on sache que se soit-elle qui est commis ses crimes. Elle jouait. Mais un jour, finit par perdre la partie. Et elle fut arrêtée. D’après des témoins, elle souriait quand ce fut le cas. Pendant quatre ans. Quatre longues années, elle resta enfermée. Elle fut libérée au bout de ce temps ; elle s’était conduite de manière exemplaire, et on ne trouvait rien à y redire. Le hic, c’était que la jeune femme s’était cachée derrière un masque. Elle n’avait pas du tout changé. Pendant quelque temps, elle ne fit rien. Et elle se fit oublier. Mais elle, elle n’avait pas oublié ses sentiments, et le plaisir de tuer. Non, elle n’allait pas s’arrêter en si bon chemin. Et elle recommença. Encore et encore. Jusqu’à aujourd’hui. Son histoire est loin d’être finie, mais elle vaut le détour. A ce jour, on prêtant qu’elle serait en route pour demander à être intégrée dans la guilde de Paranoïd Circus. Mais il ne s’agit là que d’une rumeur... "

Il n'est pas fait mention de sa magie dans son histoire, pour la simple et bonne raison qu'elle-même ignore d'où vient sa magie, et qu'à ce jour, peu de personne ont connaissance de ce qu'est réellement sa magie.

Nom de votre magie:
Nécromancie.

Particularité de votre magie:
C’est bien simple, Shikyo contrôle les morts. Aussi bien les corps que les esprits des morts. Enfin, c’est un peu compliqué tout de même. Mais je vais tâcher de faire simple.
Rose, pour faire appelle à ses esprits, n’a besoin d’absolument rien. Les morts ont des oreilles partout, il lui suffit donc de prononcer leur nom, et pouf... Ils apparaissent. Par contre, ils sont immatériels. Elle est donc obligée de leur trouver un corps. Et là, plusieurs possibilités s’ouvrent à elle. Elle peut avoir le corps réel à porté de main. Cela lui demande bien sûr beaucoup moins de magie que les autres possibilités. Si ce n’est pas le cas, elle doit leur fabriquer un nouveau corps, chose très éprouvante. Dernier cas de figure, mais certainement le plus dangereux, elle peut leur laisser son corps. Mais si elle ne fait pas attention, l’esprit peut d’approprier son corps. Par contre, elle n’a encore jamais testé cette forme de son pouvoir.
Comme les constellationnistes, elle ne peut faire appelle qu’à un certain nombre de mort à la fois. Tout dépend du lieu, des esprits, et de la puissance de sa magie. Elle pourra bien évidemment en appeler plus dans lieu où il y avait eut des combat, avec des esprits qui sont déboussolés, et au top de sa forme, plutôt qu’au milieu d’une ville, avec des esprits rebelles, et fatiguée.
Oh, petit précision. Shikyo peut aussi bien laisser les esprits libres et les commander comme le fait un chef des armées, ce qui lui laisse plus de possibilité de mouvement, que les obliger à réaliser ce qu’elle veut en les forçant, mais cela l’empêche de se mouvoir correctement. Elle est vulnérable dès lors.

Test RP: (donné par les admins une fois le reste de la présentation complèté)

* Troisième partie: hors rp

Prénom:
Secret d’état, il faudra savoir le mériter si vous y tenez vraiment.

Age:
15 ans, pourquoi?

Loisirs :
On en a pour un moment alors. Tout d’abord, écrire, et pas seulement des rps, j’écris aussi des nouvelles (je n’en ai pour le moment fini qu’une), et puis lire, cela va avec. Monter à cheval, également. Mais par-dessus tout... FAIRE LA SIESTE. Et regarder les nuages défiler dans le ciel. Cela fait travailler l’imagination. Et je m’arrête là.

Estimation de votre niveau de Rp :
Euh... Disons au dessus de cinq, par les remarques que l’on m’a faites... J’ai horreur de m’auto-juger. Et puis, vous pourrez bientôt vous faire votre propre avis.

Pays (la région si vous le souhaitez) :
Vive le Pays Basque (et non pas Bas). Je suis dans la partie française.

Comment avez-vous connu le forum ?
En pianotant sur Google.

Connaissez vous Fairy Tail? (ou "Quel est votre niveau de connaissance de Fairy Tail?")
J’ai lu jusqu’au numéro neuf.

Parrain:
J’en ai paaaaas (et accessoirement, je ne sais pas à quoi ça sert, et ce que c’est, sur un forum bien sûr).

Code de validation:
Validé par Gin ^^

PS:
Bon, j'ai légèrement changé la présentation de la fiche, j'espère qu'il n'y aura pas de problème à propos de cela. Ensuite, je voudrais savoir si mon avatar est ou non à la bonne taille. Oh, est n'ayant accès à l'ordinateur que le week-end (aujourd'hui c'était exceptionnel), j'ignore quand je pourrais finir ma fiche. Merci de votre compréhension.

Test rp :

-Makkuraaaaa, descend s’il te plait. J’ai besoin de toi.

En grognant légèrement pour exprimer son mécontentement d’être réveillé de la sorte, la jeune fille s’exécuta sans la moindre opposition. En trainant des pieds, elle se prépara aussi lentement que possible, malgré l’insistance de son père. Que voulez-vous ? On est une fille ou on ne l’est pas ; et Makkura l’était. Et avec une chevelure comme la sienne, on a besoin de prendre son temps. Mais devant les menaces répétitives du forgeron, elle finit par pose sa brosse en poussant un soupire, attrapa deux longs rubans blancs, avec lesquels elle attacha sa cascade rose tout en descendant les escaliers, en prenant toujours son temps. Une fois avoir vérifié une dernière fois que ses couettes tenaient bien, la jeune fille poussa la porte qui la séparé de son père, tout sourire. Sourire que l’homme lui rendit, avant de lui expliquer en quoi elle devait l’aider. Ce qu’elle fit immédiatement. Le temps s’écoula lentement, mais surement ; dans le village personne n’avait de pouvoir qui pouvait l’affecter, donc cela est plutôt normal. En vérité, Makkura était la seule à avoir une... malédiction ; c’est comme cela qu’elle nomme son pouvoir. Si les choses avaient été autrement... Si d’autre, à par elle, avait eut des... talents, peut-être que l’histoire aurait été autre. Mais ce n’était pas le cas ; elle était seule, et sa magie était loin d’être développé à cet âge-là.

A un moment, la jeune fille s’absenta, devant aller acheter de quoi les nourrir ; il fallait bien que quelqu’un y aille. Pour elle il ne s’agissait pas d’une corvée, loin de là. Elle aimait pouvoir respirer un air frais, et non chaud et lourd comme celui de la forge. Ce jour-là, le vent soufflait légèrement plus fort que d’habitude, ce qui la fit sourire ; elle adorait pouvoir sentir ses longs cheveux se détacher de ses épaules pour flotter et onduler au gré d’un zéphyr, ou d’un alizée. Mais ces rafales possèdent un autre point très intéressant ; ils sont porteurs des bruits qu’ils rencontrent sur leur chemin ; et un petit courant d’être souffla à l’oreille de Makkura le bruit de sabot martelant le sol sans pitié. Intriguée, elle leva son regard pour chercher la source des sons. Personne au village n’avait de chevaux, ou de chose qui aurait pu être responsable de ce bruit. Un nuage de poussière à l’entrée du village attira son attention, tout comme celle d’autres villageois. Curieuse, elle osa s’avancer vers ce qui l’intriguée. Le nuage brunâtre se rapprochait, même elle n’avait toujours pas à distinguer des silhouettes. Elle se stoppa dès qu’elle aperçu la première ombre. A cette époque-là, elle n’avait pas encore un goût du risque prononcé, et son instinct lui disait d’attendre et de voir ce qui aller se produire. La patience, par contre, est une qualité qu’elle a su garder et qu’elle avait déjà. Elle attendit donc l’arrivée, à son niveau, de ces cavaliers inconnus. Peu à peu, ils se rapprochèrent, et la jeune fille à la longue chevelure rose put discerner complètement les hommes de leurs montures. Des hommes, avec un grand H, car leur groupe ne comprenait aucune femmeDes hommes, avec un grand H, car leur groupe ne comprenait aucune femme ; Makkura adorait prêter attention aux petits détails inutiles. Elle regarda les dits-cavaliers quand ces derniers passèrent à son niveau. A son grand étonnement, ils semblaient savoir où ils allaient. En général, les rares passants qui venaient dans ce village n’étaient que des personnes égarées.

En haussant des épaules, elle retourna vaquer à ses occupations ; ces hommes n’étaient pas son problème, pour le moment... Et pourtant... elle avait comme une impression de... Comment dire ? Déjà vu ? Oui, c’est cela. Leurs visages lui disait quelque chose, mais impossible de savoir quoi. Cela énerve la jeune fille. Ce n’est pas rageant de penser que l’on sait qui est quelqu’un, mais que l’on est incapable de voir où on l’a vu, ou rencontré ? En tout cas, cela énervait Makkura. Mais elle chassa l’image des inconnus (pas si inconnus) de son esprit et se concentra sur le choix des fruits et légumes pour ses courses.

Le premier cri retenti alors qu’elle était entrain d’hésiter entre une pomme et une poire. Encore poussée par sa curiosité, elle sortie de la boutique sans attendre. Elle s’attendait à tout, sauf à ce qu’elle vit. Les sombres étrangers étaient entrain d’attaqu... Non, de piller le village. C’est à ce moment-là que Makkura fit le rapprochement ; la dernière fois qu’elle s’était rendue dans la ville la plus proche, elle avait vu un article, dans un journal, sur une bande de magiciens qui ravagés les environs. C’était eux ! Pendant quelques instants, elle resta immobile, à regarder le spectacle qui se dressait à présent devant elle. Quelques maisons brûlaient, les cavaliers volaient tous ce qu’ils pouvaient, et certains d’entre eux tuer... par plaisir. Du moins, c’est l’impression qu’eut la jeune fille. D’un coup l’image de son père traversa son esprit ; était-il... Non, elle refusait d’y croire. En courant du plus vite qu’elle put, c’est-à-dire pas très vite en vue de sa tenue, elle se rendit à la forge. Elle n’aurait peut-être pas dû le faire. Dès qu’elle arriva, elle vit son père se défendre comme il pouvait à l’épée. C’était un bon épéiste, mais que vaut la lame d’un guerrier contre plusieurs mages ? Rien. Surtout quand le guerrier en question remarque la présence de sa fille. Dès que ce fut le cas, il ordonna à Makkura de s’enfuir, délaissant son adversaire, qui en profita pour le tuer. Dans un combat, jamais au grand jamais, il ne faut détourner son regard de l’ennemi que l’on combat ; cela nous compte la vie. Il s’agissait là de la toute première leçon qu’il lui avait apprit. Quand elle regarda le corps s’écrouler au sol, l’espace d’un instant, le temps fut comme... stoppé, arrêté, bloqué, interrompu... Dites cela comme vous le voulez. Pendant un moment, elle ne fit plus attention à rien autour d’elle, ce qui aurait pu lui coûter la vie. Ce fut le galop d’un cheval qui la sortie de sa rêverie. Elle eut à peine le temps d’éviter l’animal. La jeune fille s’attendait à ce qu’il revient à la charge, et se redressa aussi vite qu’elle put, mais à son grand étonnement la monture s’arrêta, et son cavalier en descendit. Elle recula un peu, non pas effrayée, mais prudente. Cet homme n’inspirait rien de bon. Un sourire au bord des lèvres, il s’approcha lentement, tandis que Makkura reculait au même rythme, jusqu’à se retrouver coincé entre l’inconnu et un mur. Un rire s’échappa des lèvres du cavalier :

-Alors ma jolie... A quoi vais-je bien pouvoir te cuisiner ?

Fou... Cet homme était fou. Enfin, après avoir apprit à la connaître, on comprend pourquoi aujourd’hui Shikyo est Shikyo non ? Mais à cette époque, elle était plutôt effrayée par ce qui allait devenir son... inspiration. Elle tremblait contre le mur au quel elle était acculée. Il s’approchait de plus en plus dangereusement d’elle. Elle ne prit pas le temps de réfléchir à ce qu’elle faisait, que déjà, sa magie s’activée d’elle-même. A cette époque-là, elle ne le contrôlait pas réellement son talent. Son père se relevait, à la manière d’un zombie, ou d’une marionnette démantibulée, ce qui n’échappa au regard de l’étranger. En un premier temps, il sembla déboussolé ; il l’avait tué, alors comment cela était-il possible ? En un second temps, il se retourna vers la petite fille, dont l’expression faciale avait changé. Son regard se promena du mort à sa fille, jusqu’à faire le rapprochement :

-Je vois... Tu es une magicienne petite, n’est-ce pas ? Mais malgré cela, tu ne pourras pas faire grand-chose contre moi... Alors arrête t’utiliser ton pouvoir... Sauf si tu tiens à raccourcir ton espérance de vie à... quelques minutes.

Le problème était qu’elle n’avait pas la moindre idée de comment s’arrêter. Elle essaya comme elle put ; sans succès. Un nouveau sourire s’affichant sur son visage, et ne prêtant guère attention au cadavre marchant, le cavalier saisit la première chose tranchant passant à porté de sa main, et l’enfonça dans l’œil gauche de la petite fille. La douleur autant que la surprise la fit crier, et sa magie cessa immédiatement de fonctionner. Le long de sa joue droite, elle sentait les larmes couler, malgré sa volonté qu’elles cessent. L’homme en face d’elle releva son visage, comme pour regarder son œuvre, et ria de nouveau, réussissant à faire trembler Makkura. Et il lui susurra :

-Tu as de la chance, en général, je tue tous ce que je rencontre. Mais toi... J’ai l’impression qu’il sera plus intéressant de te tuer plus tard... Et puis grâce à ceci... Il passa un doigt sur l’œil blessé, je pourrais te reconnaître.

Puis il s’éloigna, remontant sur son cheval, et s’en alla loin du village. La jeune fille sentit les larmes revenir à l’assaut de son visage. Elle essaya à nouveau de les chasser ; toujours sans succès. Elle se leva, toujours en proie à la douleur, et sortie pour voir l’étendu des dégâts. Ils dépassèrent ce qu’elle pouvait imaginer. Des tas de cendres de ci et de là, des murs teintés d’une couleur vermeille, d’autres à moitié détruits, des gens blessés, et des corps jonchant le sol à n’en plus finir. Elle se rapprocha comme elle put, donc en titubant, du corps de son père, au près duquel elle s’effondra, en laissant reposer sa tête sur le torse inanimé de l’homme. Et elle se laissa aller à ses pleurs, et sa tristesse. Elle murmura un seul petit mot, emporté par le vent, mais qui bien vite mourut ; une question à laquelle elle n’aurait jamais de réponse, bien qu’elle la souhaitait :

-... Pourquoi ?

Salut, salut! Bienvenue, et merci de t'être inscrit(e)! Smile

Je vois là que ta fiche est bien entamée, et vient t'apporter mes encouragements pour la suite, qui ne peut être que bien, vu ce début fort prometteur: bonne orthographe (les gens comme ça gagnent déjà 5 points sur 10 avec moi ), et contenu très divertissant! On sent que tu sais écrire et rplayer, que tu as la main!
Comme tu me mets presque au chômage avec une présentation si jolie, je vais répondre aux différentes questions que j'ai vu disséminées dans ta fiche de présentation:

-le parrain: si un membre amène sur le forum un autre membre et que celui-ci est validé, un petit bonus d'expérience est donné à celui qui aura parrainé le nouveau ;

-ton avatar a une taille correcte;

-le fiche de présentation originale est très basique, pour permettre justement aux membres inspirés de la personnaliser selon leurs envies: ta mise en page est très jolie

Pour la fin de ta fiche, ne t'inquiète pas, nous notons que tu la finiras un week-end suivant. Et si tu cherches une guilde noire, tu peux toujours aller voir ICI (lien)

Sur ce, bonne chance! =D

Merci Gin'ichi d'avoir répondu à mes questions.

Bon, donc je tiens à signaler qu'il ne me manque plus que la description de la magie. Oh, et je m'excuse si l'histoire n'est pas très détaillé, mais c'est voulu. Vous découvrirez le reste de son passé en même temps qu'elle.

EDIT: Fiche finie... normalement.

Bonsoir ! Somme toute une plutôt jolie fiche. Relativement peu de fautes, des quantités pas extraordinaires, pas parfait, mais nous ne demandons rien de tel ! Cela est donc suffisant pour que je te donne ma pré-validation Wink

. En ce qui me concerne, tu peux recevoir ton test RP !

Eh bien, ca peut paraître incroyable, mais je n'ai pas d'idées pour ton test RP ! En général, j'essaie de tester les gens sur leurs pouvoirs, ou je les questionnent sur des points qui me semblent plus faibles que d'autres... Mais chez toi, rien. Enfin, tout est clair, ou comprend bien ton histoire, ton pouvoir, etc.

En bref, tu n'a qu'a faire un test RP sur un sujet qui te fera plaisir. Moi, Mistogan-sama, te donnes carte blanche !

Au passage, bienvenue ! Wink

Alors... au risque de paraitre sans-cœur, je vais te donner le thème auquel j'ai pensé pour ton test rp.
Tu nous parles bien de l'attaque du village, et des sentiments de Shikyo... Mais que s'est-il passé exactement ? J'aimerais que tu décrives "l'attaque du village" plus en profondeur pour ce test rp.
Bonne chance, et à bientôt

Bon, j'ai finit mon test rp, j'espère qu'il conviendra.

J'aime beaucoup ce test rp. Décidément, j'apprécie. Il ne fait donc aucun doute que je te donne ma voix vers ta validation, il n'en manque qu'une. Au passage, nous devrons débattre de ton niveau : je propose à mon collègue qui viendra relire cette fiche pour la valider une bonne fois un niveau 23.

Dans tous les cas, merci beaucoup pour tes efforts et bienvenue parmi nous ! \o/

Invité

Comme je l'ai déjà dit, j'aime beaucoup ton style, tu as beaucoup d'imagination, malgré les fautes d'orthographe ( mais je te l'ai déjà dit ^..^ )
Alors je valide, lvl 23 Smile

Bienvenue chez les Paranoid Circus Cool

Héhé :p